Les lieux incontournables à découvrir entre amis à Courbevoie

Une activité agréable à partager avec des amis est le bowling de Courbevoie, un espace animé où l’on peut vivre une soirée divertissante en se défiant amicalement dans une ambiance chaleureuse.

L’Escape Game de la ville propose une expérience immersive à pratiquer en groupe, encourageant la cohésion et la solidarité. Ces activités moins habituelles offrent des atouts spécifiques, comme l’occasion de se divertir tout en découvrant des lieux plus authentiques et préservés. Ainsi, Courbevoie constitue un environnement idéal pour créer des souvenirs inoubliables avec ses amis, que ce soit dans la nature, à travers des loisirs récréatifs ou autour d’un repas convivial. Un autre site remarquable : l’Ancien hôtel de Guines.

Place de l’Hôtel-de-Ville

Ce lieu mérite une visite, car il incarne une véritable oasis face à l’ancienne mairie. Parcourir ses allées permet d’admirer, au loin, les tours de La Défense, rappelant l’importance de la nature à Courbevoie, à seulement un kilomètre du quartier d’affaires. Derrière un massif de bambous, une ancienne fontaine dessinée par l’architecte Nicolas Rosier s’insère dans un escalier de briques, menant à l’allée Molière, première section du parc De Lattre de Tassigny. Le square abrite le cercle des Anciens combattants ainsi qu’un espace commémoratif avec mâts porte-drapeau, où plusieurs stèles furent regroupées depuis 2017.

Dans cet esprit commémoratif, deux arbres symboliques rappellent les liens de Courbevoie avec ses villes jumelées : un cèdre du Liban, offert et planté le 20 juin 2015 par Monsieur Antoun Maroun, maire de Beit Mery (Liban), et un chêne anglais, planté le 17 novembre 2018 en présence de la maire du borough londonien d’Enfield (Angleterre), lors du centenaire de l’armistice.

Caserne Charras et promenade au parc Bécon

Venez admirer la caserne Charras, située à Courbevoie dans les Hauts-de-Seine. Ce bâtiment ancien, dont une partie de la façade fut soigneusement replacée dans le Parc de Bécon, a été construit en 1756. Il fait partie des trois casernes édifiées pour les Gardes suisses après un décret royal de 1754, conçues selon les plans de l’architecte français Charles-Axel Guillaumot. La caserne Charras fut édifiée simultanément et d’après le même modèle que celles de Rueil-Malmaison et de Saint-Denis.

Partez explorer les richesses variées conservées dans le Parc de Bécon et ses alentours ! Cette promenade permettra d’admirer des édifices à l’architecture originale, des témoins issus de l’Exposition universelle de Paris de 1878, ainsi que des traces du passé viticole de Courbevoie. Découvrez des lieux emblématiques tels que le Musée Roybet Fould, le Cinéma Abel Gance, la Grande vigne, le Fronton de la Caserne Charras, le Théâtre de verdure, l’Orangerie et, pour terminer, le Pavillon des Indes.

Patinoire Thierry Monier

La patinoire Thierry Monier s’étend sur 56 mètres de longueur et 26 mètres de largeur, offrant une surface de glace polyvalente, idéale pour de nombreuses activités. Elle peut accueillir jusqu’à 700 spectateurs assis et recevoir un maximum de 1500 personnes au total. Ce complexe dynamique constitue le centre d’activités des clubs de hockey sur glace et de patinage artistique. En plus des matchs de hockey, la patinoire propose des cours de patinage, un service de location de patins, des spectacles, ainsi que des gradins permettant aux visiteurs de profiter pleinement de chaque événement. 

Rendez-vous au bassin de Takis entre amis !

À l’extrémité de la dalle, offrant une vue exceptionnelle sur le pont de Neuilly et l’Arc de Triomphe, se situe une œuvre d’art remarquable. Dix-sept têtes lumineuses, colorées et clignotantes, s’animent dans l’eau suivant une séquence énigmatique… Découvrez l’univers du bassin de Takis ! Ces créations, appelées “sentinelles”, sont l’œuvre du célèbre artiste grec Panayotis Vassilakis, surnommé Takis. Depuis les années 1950, cet artiste cherche à explorer le mystère de l’énergie et à capter des “signaux” invisibles, tentant de révéler des vérités cosmiques…

Ces “signaux” rappellent des éléments que l’on pourrait rencontrer dans une gare moderne. Cependant, leur fonction n’est pas d’indiquer les horaires des trains. Ils servent plutôt de messages codés, une manière originale de révéler des réalités imperceptibles à l’œil humain. Ce concept prit forme en 1974, lorsque l’établissement public en charge du développement de La Défense décida d’intégrer l’art contemporain dans le nouveau quartier d’affaires. Aujourd’hui, 17 signaux lumineux, mesurant de 6 à 11 mètres, sont plantés dans l’eau du bassin, derrière la Grande Arche, en direction de l’Arc de Triomphe.

Pavillon des Indes

Créé par l’architecte anglais Caspar Purdon Clarke pour le prince de Galles, futur roi Édouard VII, le Pavillon des Indes fut conçu afin de présenter ses collections lors de l’Exposition universelle de 1878 à Paris. Ce pavillon rencontra un immense succès, attirant plus de 16 millions de visiteurs sur le Champ de Mars, site de l’Exposition. Le prince Georges Stirbey, propriétaire du Parc de Bécon, acheta une partie du pavillon pour en faire un atelier destiné à sa belle-fille, Georges Achille-Fould, artiste peintre passionnée par les thématiques féminines. 

Le Pavillon des Indes et ses salles thématiques accueillent une exposition permanente intitulée Le Pavillon des Indes, de l’Exposition universelle à aujourd’hui, retraçant l’histoire du pavillon au fil du temps. Cette exposition propose une immersion dans le contexte historique et culturel du début de la IIIe République et de l’Exposition universelle, permettant aux visiteurs de découvrir documents d’archives et maquettes illustrant l’histoire du château et du Parc de Bécon. 

Pavillon de la Suède et de la Norvège

Pour sa belle-fille Consuelo Fould, le prince Stirbey ajouta à une maison construite vers 1890 le pavillon de Suède et de Norvège, provenant de l’Exposition universelle de 1878. Ce pavillon fut conçu par l’architecte norvégien Henrik Thrapp Meyer, où la partie gauche correspond au pavillon suédois et la partie droite au pavillon norvégien. L’architecte Pasquier réalisa un atelier d’artiste attenant à la maison.

Le musée organise chaque mois une conférence au Pavillon Suède-Norvège. Ces rencontres, prévues le jeudi soir, sont à ne pas manquer. Elles sont présentées par des spécialistes dans leurs domaines et traitent de sujets liés à l’exposition temporaire en cours, ainsi qu’à l’actualité culturelle de Courbevoie, du département des Hauts-de-Seine et de Paris.

Monuments religieux de Courbevoie

L’église Saint-Pierre-Saint-Paul est un lieu de culte catholique inscrit aux monuments historiques depuis 1971. Bien que sa construction ait commencé en 1790, ses origines remontent au XIVᵉ siècle avec l’édification d’une chapelle dédiée à Saint-Pierre et Saint-Paul. L’intérieur est décoré de nombreuses œuvres d’art, incluant des toiles de grands maîtres. 

L’église Saint-Adrien, consacrée le 20 juin 2010 par Monseigneur Gérard Daucourt, est la troisième église portant ce nom à Courbevoie. Elle succède à deux constructions antérieures, la première édifiée entre 1918 et 1930 et inaugurée en 1926, la seconde construite en 1981 sous la direction de l’architecte Delanoy dans le cadre des Chantiers du Cardinal. L’église Saint-Maurice de Bécon, située dans le quartier de Bécon à Courbevoie, est un lieu de culte catholique dédié à saint Maurice et construit dans un style néo-roman typique du début du XXᵉ siècle. La façade est ornée d’un bas-relief représentant le Christ en croix, œuvre de Camille Debert.

Mémorial du Retour des cendres de Napoléon Ier

Ce lieu commémore l’arrivée solennelle des cendres de l’Empereur le 15 décembre 1840 sur la place du Port de Courbevoie. Une foule considérable s’était rassemblée pour assister à cet événement historique. Une première stèle commémorative fut érigée pour rappeler cet épisode, puis une nouvelle stèle, installée en 1980 par la municipalité et des historiens spécialisés, fut placée afin de pérenniser la mémoire de ce moment. La construction du quartier d’affaires de La Défense a entraîné la disparition temporaire de cette stèle, qui fut mise en sécurité. Elle fut réinstallée solennellement par l’Établissement Public d’Aménagement de La Défense au pied de la résidence des Damiers, sur la place Seine, également appelée place Napoléon Ier. La stèle perpétue le souvenir de cet événement historique.